KMH se développe et lance KMH Benefits

Cofondateur de KMH For life, Nicolas Medan s’est spécialisé depuis quelques années dans le domaine de la protection sociale et des avantages sociaux proposés par les entreprises à leurs salariés. Il nous en dit plus sur cette activité, qui connaît un nouveau développement avec le lancement de KMH Benefits.

Après huit ans passés sous la bannière d’Alexander Beard France, vous lancez KMH Benefits. Quelle a été la genèse de ce nouveau projet ?

Nous avons démarré notre activité de manière opportune il y a huit ans, après avoir lancé une joint-venture avec le Groupe Alexander Beard, destinée à accompagner une clientèle ayant travaillé au Royaume Uni. Notre partenaire anglais nous a très vite sollicités pour l’un de ses clients majeurs, une tech californienne ayant des salariés en France. C’est ainsi que nous avons développé un service maîtrisant le domaine de la protection sociale. Je remercie d’ailleurs Paul Beard, son fondateur, pour le partenariat fructueux que nous avons mené ensemble. Toutes ces années nous ont permis de développer notre expertise et notre savoir-faire, avec une équipe entièrement dédiée à la protection sociale. Nous sommes désormais prêts à poursuivre cette aventure sous la marque KMH Benefits.

KMH Benefits s’inscrit donc dans la continuité de KHM For life ?

KMH est notre marque commune, au sein de laquelle collaborent désormais deux sociétés distinctes qui partagent les mêmes valeurs. Nous diversifions nos activités et sommes extrêmement fiers et heureux de pouvoir annoncer le lancement de KMH Benefits.

Que propose KMH Benefits à ses clients ?

Nous sommes plus qu’un courtier spécialisé dans la protection sociale, car nous avons dans notre ADN ce qui caractérise la gestion privée : un service complet, attentionné et sur-mesure.

KMH Benefits accompagne ses clients dans la mise en place d’avantages sociaux pour leurs salariés. Nous travaillons surtout avec des compagnies étrangères qui s’implantent en France. Nous avons choisi le terme “Benefits” car nous sommes très orientés vers le marché américain, dont nous connaissons très bien les attentes. Plus spécifiquement, nous avons développé une expertise pour les entreprises du secteur informatique et des nouvelles technologies . Nous pouvons bien évidemment proposer les mêmes outils et la même méthodologie à des entreprises françaises.

Ces outils, vous les trouvez auprès de partenaires avec lesquels vous avez l’habitude de travailler chez KMH For life.

Oui, car nos principaux partenaires sont des compagnies d’assurances. Plus elles sont importantes, plus elles sont généralistes et plus elles sont à même d’œuvrer à la fois dans l’univers de la gestion de patrimoine et dans celui de l’assurance collective. C’est le cas de Swiss Life qui nous a beaucoup aidé à construire  notre toute première offre sur mesure pour ce premier client américain. Nous travaillons bien entendu avec des acteurs lyonnais comme April ou Alptis.

Comment envisagez-vous le futur de KMH Benefits ?

J’espère continuer sur cette lancée car nous apportons une valeur ajoutée certaine à nos clients, dont les retours très satisfaits font notre joie et nourrissent notre ambition.  Les seuls clients qui nous quittent sont ceux qui se retirent de France ou qui rejoignent de grands opérateurs comme Aeon ou Willis Tower Watson.

Nous allons donc chercher à consolider nos acquis auprès d’entreprises américaines qui s’implantent en France. En parallèle, nous souhaitons développer une clientèle française aux activités similaires. Et nous ne nous interdisons pas de rejoindre un réseau de courtiers internationaux pour collaborer davantage avec d’autres pays qui investissent dans l’Hexagone, à commencer par nos voisins européens.

Des perspectives qui correspondent à votre appétence pour le B2B et l’international

Ce sont effectivement des domaines qui me passionnent. J’apprécie beaucoup de collaborer avec nos correspondants américains pour les aider à créer de la valeur, et j’ai toujours eu beaucoup de curiosité pour découvrir et m’imprégner d’autres cultures entrepreneuriales, ce qui me permet de nourrir la mienne.